Pourquoi tout le temps comparer le nouveau film de notre ami Gondry Be kind rewind à la magie de son succés dans Eternal sunshine of the spotless mind en 2004, ou aux éternels adolescents dans lesquels chacun de nous se retrouvent dans son avant dernier film La science des rêves, et en dire qu'il ne les equivaut pas. Qu'ont ils à reprocher à ce grand gamin qui nous fascine avec son imagination et ses créations dans des films aux thèmes divergents, mais qui ont tous un même lien qui tient de la sensibilité du Grand Gamin. Grand par le talent, grand par son imagination et sa création, Gondry ne manque pas de nous apper dans chacun de ses films. Il mélange à la fois la science, la nature humaine et le côté matérialiste de notre époque pour résulter d'une création qui nous prend les trippes et nous ouvre les yeux sur la realité de ce monde, qui finalement, aboutit toujours au même resultat, celui de la sensibilité humaine quelque soit le domaine dans lequel elle s'exerce. Be kind rewind semble être le comique de l'absurdité humaine qui tient de l'imagination du Grand Gamin. Alors pourquoi ne pas l'apprecier autant que ces deux précèdents films, car pour ainsi dire, Gondry reste fidèle au poste... à nous renvoyer dans le passé, dans une vision futuriste des années 80-90 dans des films absurdes à se plier de rire tel robocop ou rush hour 2, ainsi que des acteurs drôles et mythiques de par leur personnalité en totale osmose avec le thème du film pour interprèter les deux dirigeants du video club. Gondry tape ici dans le comique, qui s'écarte des registres utilisés pour le film Eternal sunshine of the spotless mind et un peu moins dans La science des rêves. Il est fort dommage d'entendre ce genre d'arguments pour dénigrer un film car ils ne sont en rien valables. Bien evidemment, comme tout le monde le sait, c'est l'exception qui confirme la règle. Gondry le grand gamin continue de nous faire rêver... Merci Michel.

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Gondry, l'homme qui nous fait rêver

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